Les avocats de DSK ont élaboré une nouvelle stratégie. N.D., la femme de chambre du Sofitel, aurait eu des relations sexuelles consenties avec le directeur du FMI.
Les avocats chargés de la défense de Dominique Strauss-Kahn ont mis au point une nouvelle stratégie de défense «explosive» selon le «New York Times». «Je l'ai séduite et elle a dit oui-oui», titre le quotidien new-yorkais. Les avocats soutiennent la thèse d'un rapport sexuel consenti entre leur client et la femme de ménage. «Les preuves, nous le croyons, ne corroboreront pas la thèse de la relation sexuelle forcée», explique Ben Brafman avocat de l'ancien ministre français.
La victime présumée ne savait pas qui était DSK
N. D., surnommée Ophelia à son travail, est la victime présumée de Dominique Strauss-Kahn. La femme de chambre de l'hôtel Sofitel ne savait pas à qui elle avait affaire lorsqu'elle a affirmé avoir été agressée par le patron du FMI.
C'est en tout cas ce que déclare un ami de la victime rencontré dans le Bronx par RMC. Cet homme hébergerait aujourd'hui une des filles de la victime qui se trouve sous protection policière, dans un lieu tenu secret, pour éviter les sollicitations médiatiques.
Elle n'as pas porté plainte officiellement
Elle aurait appris l'identité de son agresseur, et son rang, en regardant la télévision le soir de l'arrestation de DSK. Son ami a alors expliqué à N. D. l'importance de la personnalité politique française.
Enfin, la radio nous révèle que la femme de chambre du Sofitel n'a pas officiellement déposé plainte contre DSK et que c'est le procureur en charge de l'enquête qui est à l'origine des poursuites contre le directeur du FMI.
C'est exactement la version qu'adoptent les violeurs.
Ce malade va bientôt nous expliquer que son charme est tellement irrésistible que la jeune femme l'a agressé sexuellement.
qu'ils sont beaux tous ces tenors du PS qui n'ont pas eu un mot de compassion pour la vraie victime.
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