Blog sur la production de framboises biologiques avec une méthode utilisant les "mauvaises herbes" comme engrais-paillage. la technique est une amélioraion du BRF:"Bois,Rameaux Fragmentés". elle nécéssite très peu de matériel donc très peu d'investissement; elle ne nécéssite pas non plus de travail de force style bêchage ou passage de motoculteur. en double-cliquant sur les photos,vous verrez mieux les détails. pour laisser un commentaire, choisir l'identité anonyme.

samedi 22 décembre 2007

ségo est venue se faire de la PUB sur le dos des EX-salariées de Jourdan.à la veille de Noël,AUCUN SCRUPULE

Madame Royal,
ou sont passés les 30 millions d'Euros qui étaient destinés à ammortir la chute pour les ouvrier(e)s ?
commune socialiste
communauté de commune dirrigée par les socialistes
conseil général socialiste
conseil régional socialiste.

DSK aussi était venu se faire de la PUB chez Reynolds.
le résultat pour les ouvrier(e)s a été NUL,
NUL,NUL,NUL,NUL,NUL,NUL,NUL,NUL,NUL,NUL,NUL,NUL,NUL,

joyeux Noël,madame Royal,
et à vos enfants aussi.
leur mère a la chance d'avoir un bon travail:
PROFITEUSE DE LA MISERE DES PAUVRES.



Elle est arrivée comme prévu à 16 heures précises. Prenant soin de patienter quelques instants supplémentaires dans la voiture du président du conseil général, Didier Guillaume. Quelques minutes pour être "raccord" avec le mini-bus et la nuée de journalistes parisiens venus couvrir l'évènement.
Caméras et micros en place, Ségolène Royal a alors grimpé les marches de l'escalier boulevard Voltaire. Là où l'attendaient les salariés et de nombreux élus romanais et péageois. « Je suis en solidarité avec votre souffrance, votre détresse », dira-t-elle aussitôt en s'adressant au délégué CGC Gilles Apoix qui lui servira de guide, avec René Randa, l'ancien directeur des opérations sur le site...
"Je dis aux salariés de rester debout"
Le ton était donné. L'ancienne candidate socialiste aux présidentielles était ici « pour être utile, pour donner un éclairage sur un outil de travail en ordre de marche ». Et d'ajouter plus tard dans l'atelier de piquage : « C'est insoutenable de voir des financiers dépecer une entreprise, ça suffit... ». Ségolène Royal va ensuite prendre le temps de s'entretenir avec chaque membre du personnel.
Celles et ceux qui sont venus cet après-midi « pour la voir d'abord », mais aussi « voir ce qu'elle va dire ». Il y a là, au fil des salles et ateliers, les 148 salariés romanais de Jourdan. Des employés qui s'accrochent à un infirme espoir, malgré la liquidation prononcée lundi et les lettres de licenciements annoncées pour la fin du mois... Et si cette venue pouvait changer le cours des choses ?Ségolène Royal écoute, se fait expliquer les étapes de la fabrication par les ouvriers. Elle questionne beaucoup. Depuis combien de temps êtes-vous chez Jourdan ? Qu'avez-vous eu comme formation ?... Avec souvent un petit mot de réconfort, surtout face aux employées au regard embué de larmes. Celles et ceux aussi qui sont révoltés: « C'est impensable que tout cela disparaisse !» lui dira une salariée.
«Briser le silence» par caméra interposée
Une heure trente plus tard, à l'étage du bâtiment, avec les membres du comité d'entreprise et devant la cohorte de journalistes, Ségolène Royal dira combien elle a trouvé cette visite « émouvante, poignante ». Là, dans la salle des collections, elle dira son espoir que sa « venue fasse bouger les choses », déplorant encore« les destructions sociales sont d'autant plus rapides qu'elles se font dans le silence !».Ségolène Royal était donc venue pour « briser le silence », apporter « un soutien médiatique », car selon elle : « tant qu'on est dans le mouvement, il y a de l'espoir ». Elle aura encore cette formule : « Mon statut de femme politique et ma venue ici peuvent peut-être faire bouger les choses, et je dis aux salariés de rester debout !». Reste maintenant à savoir si un industriel "sérieux" sera sensible à l'appel ?
En terre romanaise, on se réserve bien de tout pronostic...
Maryse SCHOON-GAYETParu dans l'édition 26C du 21/12/2007

extrait de l'article de libé:

Ségolène Royal s’engouffre au milieu des lignes de production à l’arrêt. Où beaucoup ne nourrissent guère plus d’espoirs. Agnès, salariée : «On nous a tellement menés en bateau... Personnellement, j’ai pas envie d’y croire.»
Un employé l’interpelle : «Madame Royal, pourquoi vous êtes pas venue avant ?» Et l’intéressée de répliquer, sentimentale : «Quand j’ai vu les lettres de licenciement que les salariés recevront entre Noël et le jour de l’An, j’ai trouvé ça atroce. Ça m’a révoltée.»
Pragmatique, Marie, déléguée CGT, mesure l’intérêt de la visite : «Elle nous utilise, mais on l’utilise aussi.»
Une mise en pratique du «donnant, donnant», cher à l’ex-candidate ?

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Qui êtes-vous ?

paysan bio producteur de framboises biologiques. passionné par mon métier. mais gêné par le fait qu'il ne procure pas un revenu suffisant pour faire vivre correctement ma famille. c'est elle la priorité,donc je vais certainement changer de métier.