Blog sur la production de framboises biologiques avec une méthode utilisant les "mauvaises herbes" comme engrais-paillage. la technique est une amélioraion du BRF:"Bois,Rameaux Fragmentés". elle nécéssite très peu de matériel donc très peu d'investissement; elle ne nécéssite pas non plus de travail de force style bêchage ou passage de motoculteur. en double-cliquant sur les photos,vous verrez mieux les détails. pour laisser un commentaire, choisir l'identité anonyme.

jeudi 15 mai 2008

survivre ou VIVRE ?

"Le parti pris de la vie est un parti pris politique. Nous ne voulons pas d'un monde où la garantie de ne pas mourir de faim s'échange contre le risque de mourir d'ennui." - Raoul Vaneigem

En date de : Mer 14.5.08, Kyra-Francoise MAS a écrit :

Interviews de Raoul Vaneigem, un regard sur mai 68 et sur maintenant
[Dans son nouveau livre, "Entre le deuil du monde et la joie de vivre" (Gallimard), il dresse un bilan passionnant de Mai 68 et de ce qu'il en reste.
Il y répète aussi qu'à l'égard de ce qu'on pourrait dire de sa pensée ou de ses actes, il est aussi indifférent "que l'averse effaçant sur un trottoir des traces de vomissure".
Il refuse toute interview classique. Mais il a accepté de répondre par e-mail à nos questions, à condition de ne rien couper... et de prendre ensuite avec lui un verre ou deux. Au nom de la vie.]
Q
:On fête les 40 ans de Mai 68 dans une atmosphère de restauration. Vous dites au contraire que Mai 68 fut "un premier cri d'alarme" qui a changé le monde de manière durable. Que reste-t-il de mai 68 ?
R: Rien pour les soixante-huitards trotskisto-maoïstes qui avaient déjà à l'époque les qualités requises pour se reconvertir dans l'affairisme.
Tout, en revanche, pour ceux qui perçoivent dans le Mouvement des occupations de Mai 1968 le début d'une révolution, qui en est à ses premiers balbutiements. On n'a pas encore mesuré à quel point nous sommes au coeur d'une mutation où s'opère le périlleux passage d'une civilisation marchande millénaire à une civilisation humaine, souvent esquissée et toujours réprimée (la Révolution française, la Commune de Paris, les conseils ouvriers en 1917, les collectivités libertaires espagnoles de 1936).
Ce qui, en 1968, s'est exprimé avec la lucidité d'une brusque et brutale révélation n'est rien de moins que le refus de la survie au nom de la vie.
La table sacro-sainte des valeurs patriarcales a été brisée définitivement : c'en est fini de l'exploitation de la nature, du travail, de l'échange, de la prédation, de la séparation d'avec soi, du sacrifice, de la culpabilité, du renoncement au bonheur, du fétichisme de l'argent, du pouvoir, de l'autorité hiérarchique, du mépris et de la peur de la femme, de la subornation de l'enfant, de l'ascendance intellectuelle, du despotisme militaire et policier, des religions, des idéologies, du refoulement et de ses défoulements mortifères.
Ce n'est pas un constat, c'est une expérience en cours.
Elle n'a que faire de commémorations.
Elle réclame seulement plus de vigilance, plus de conscience, plus de solidarité avec le vivant. Nous avons besoin de nous refonder pour rebâtir sur des assises humaines un monde ruiné par l'inhumanité que propagent partout l'esprit mercantile et le culte du profit à court terme.
Q:
Mais la société marchande, le "décervelage", la "société du spectacle" ont tout gagné, y compris les anciens soixante-huitards. C'est le règne de l'argent.
R: Nous assistons à la faillite d'un système fondé sur l'exploitation cupide de l'homme et de la nature. Nous sommes dans une économie qui se détruit en détruisant la planète.
Au lieu d'investir dans la modernisation des secteurs prioritaires, le capitalisme sacrifie à la spéculation boursière l'industrie et les services publics qu'il se glorifiait hier de promouvoir. La prédominance de la rentabilité et l'urgence du profit ont propagé un nihilisme, où l'envers vaut l'endroit et un désespoir que la frénésie consumériste accroît et exorcise tandis que le pouvoir d'achat diminue.
Le culte de l'argent établit, plus qu'une complicité, une communion d'esprit entre le malfrat qui agresse les pauvres, brûle une école, une bibliothèque et la brute affairiste qui accroît ses bénéfices en détruisant le bien public et les acquis sociaux.
Jamais ceux qui s'arrogent le titre de dirigeants n'ont atteint à un tel degré d'incompétence et de stupidité et jamais ce "moins que rien" dont ils s'infatuent n'a autant passé pour "quelque chose", tant se perpétue le préjugé que l'homme n'est pas capable d'agir de façon autonome et de créer sa propre destinée.
Le clientélisme politique a corrompu les démocraties, désormais à la botte des multinationales.
Il n'y a plus ni idées ni croyances qui ne se trouvent dénuées de sens, éviscérées, réduites à cet état de charogne, qui fascine les foules aveuglées par le ressentiment, le désespoir, l'ultime prédation, la quête angoissée d'un emploi d'esclave et l'impression d'existence absurde, propice à une grande variété de comportements suicidaires (tueries de Colombine, massacres du Rwanda et de l'ex-Yougoslavie, barbarie islamiste)
Mais l'obscurantisme à la mode a beau propager l'insensibilité, la servilité, le fatalisme, la loi du plus fort et du plus rusé, rien n'empêchera la pensée radicale de progresser et de miner souterrainement le spectacle où la misère existentielle est érigée en vertu.
Comment ce qui était insupportable en 1968, alors que l'économie était florissante, ne le serait-il pas davantage aujourd'hui ?
Est-il besoin de jouer les prophètes pour prévoir que la volonté de vivre balaiera de sa vague ce monde en ruines, où chacun a la sensation de végéter dans l'absurdité de son inexistence ?
Il faudra bien que les critères de vie (amour, amitié, solidarité, générosité, créativité, désir de bonheur et de jouissance, avidité de savoir) se substituent aux vieux critères d'un pouvoir patriarcal révolu !
Q:
Peut-on échapper à la récupération ? Quel est encore aujourd'hui l'apport du situationnisme ?
R:
Le situationnisme est une idéologie. Les situationnistes ont toujours récusé ce terme. Celui qui refuse tout pouvoir, n'accepte de gouverner, ni d'être gouverné, n'entre pas dans ce "spectacle de la vie où la vie est niée", ne sépare pas ses idées de sa propre existence quotidienne, préfère l'être à l'avoir et l'authenticité de ses désirs à leur falsification consumériste, celui-là est irrécupérable. Q:
Vous êtes critique avec une certaine écologie, qui dites-vous, remplace un capitalisme par un autre ? R:
De l'avis même de ses promoteurs, le capitalisme financier est condamné à l'implosion à plus ou moins longue échéance. Cependant, sous cette forme sclérosée se profile un capitalisme redynamisé qui projette de rentabiliser les énergies renouvelables et de nous les faire payer très cher alors qu'elles sont gratuites. On nous "offre" des biocarburants sous la condition d'accepter des cultures de colza transgénique, l'écotourisme va faciliter le pillage de la biosphère, des parcs d'éoliennes sont implantés sans avantages pour les consommateurs. C'est là qu'il est possible d'intervenir. Les ressources naturelles nous appartiennent, elles sont gratuites, elles doivent être mises au service de la gratuité de la vie.
Il appartiendra aux collectivités d'assurer leur indépendance énergétique et alimentaire afin de s'affranchir de l'emprise des multinationales et des Etats partout vassalisés par elles. L'occasion nous est offerte de nous approprier les énergies naturelles en nous réappropriant notre propre existence.
Q:
Plus que jamais, les gens cherchent-ils à survivre plutôt qu'à vivre et - du moins - à confondre ces deux concepts ? Survivre relève de la condition animale. Vivre est la spécificité de l'homme. En se dégageant de l'animalité, il acquiert la capacité de créer sa propre destinée et de recréer sans cesse le monde.
R:
Or la nécessité de travailler le ravale au statut de bête de somme. Le consumérisme ne lui a permis de survivre mieux qu'en vivant moins. Mais le prix des biens consommables ne cesse d'augmenter. La survie des espèces planétaires, l'homme y compris, est menacée. C'est pourquoi je mise sur un sursaut de la volonté de vivre. Il n'existe aucun exemple dans l'histoire d'une société, si dévastée soit-elle, qui n'ait réussi à se relever de ses ruines.
Q:
La révolte est devenue difficile, car les pouvoirs paraissent déjà très ébranlés. L'aliénation, pour prendre un concept marxiste, est devenue intériorisée. Sans même de chefs, de prêtres, de gourous ou de "despotes", chacun semble estimer "qu'il n'y a pas d'alternative" à un monde dont pourtant chacun perçoit les dérives mortifères (environnement, inégalités, pression du travail, etc.).
R:
De fait, jamais la servitude volontaire n'a été aussi grande. Les mafias affairistes tirent profit de cette peur viscérale qu'elles entretiennent et qui courbe les foules comme si elles étaient sous le feu d'une troupe imaginaire. Il existe pourtant des collectivités, des initiatives individuelles qui attestent la présence de forces créatrices, mais l'information à la solde des intérêts boutiquiers les étouffe sous sa chape de silence. De la créativité individuelle et de la volonté de vivre mieux peut naître une démocratie autogestionnaire capable de révoquer cette imposture démocratique qui ose appeler liberté la tyrannie du libre-échange, le droit d'escroquer le bien public et la manipulation clientéliste des électeurs. Sur les murs de la grisaille existentielle qu'élèvent autour de nous les commis-voyageurs de l'affairisme mondial, je souhaite que refleurissent ces mots de Loustalot, qui, datant de la Révolution française, n'ont rien perdu de leur insolente nouveauté : "Les grands ne nous paraissent grands que parce que nous sommes à genoux. Levons-nous !"
Q:
Peut-on échapper au travail marchand ?
R
Il le faudra bien, puisqu'il nous échappe de plus en plus. Ceux qui appellent à travailler davantage sont les mêmes qui ferment les usines pour les jouer en Bourse. Ils privilégient le travail parasitaire en multipliant les services inutiles et ils envoient à la casse les secteurs prioritaires (écoles, hôpitaux, métallurgie, textile, logement, transports). Seule une créativité développant les énergies naturelles et les mettant, selon un réseau de collectivités autogérées, au service des citoyens, rendra possibles la fin du travail d'exploitation et la mise à sac de la nature terrestre et humaine.
Q:
Quel espoir avez-vous ? Un nouveau Mai 68 ? Que devraient faire les jeunes d'aujourd'hui ?
R:
Apprendre à vivre, non à se vendre.
Ils y viendront d'eux-mêmes quand ils comprendront quel esclavage les attend sur le marché de dupe du travail.
Quand, refusant la compétition (les mécanismes économiques qui nous robotisent), l'arrivisme, le culte de l'argent à tous prix, ils accorderont enfin la priorité à l'amour de la vie et à leur vie amoureuse, à la connaissance du vivant, à l'amélioration de leur environnement, à l'émulation personnelle, à la seule richesse qui soit : la richesse de l'être et non de l'avoir. Quand ils s'aviseront qu'il ne s'agit pas d'être le meilleur mais de vivre mieux. Quand ils refuseront de cautionner des gouvernants qui construisent des prisons et suppriment des écoles au lieu de les multiplier. Quand ils s'insurgeront contre une éducation concentrationnaire qui favorise la violence et va à l'encontre du sens même d'un enseignement véritablement humain apprendre pour donner son savoir aux autres. La vie a tous les droits, la prédation n'en a aucun.
Ne vous étonnez pas que le combat commence à peine .
LEVONS-NOUS !
Par Michel Bellin
L’auteur du « Traité du savoir-vivre à l’usage des jeunes générations », livre phare de Mai 68, n’a rien perdu de sa radicalité. Interview à l’appui.
Le Nouvel Observateur. –
Quarante après Mai 68, quelles leçons de vie donneriez-vous à un jeune de 20 ans aujourd’hui
Raoul Vaneigem.
Je ne suis ni maître à penser ni donner de leçons. Je souhaite seulement que chacun apprenne à mener son existence selon ses désirs et en ce qu’elle a de plus riche : l’expérience de l’homme en voie d’humanisation s’affranchissant de ce qui le réduit à l’état de marchandise. Eriger sa vie en modèle, c’est la figer dans une forme où elle se vide de sa substance. Je me borne à témoigner de mes tentatives de vivre mieux dans un monde où je sais que le bonheur d’un seul est inséparable du bonheur de tous. Se fonder sur la pulsion de vie afin de l’affiner me paraît le meilleure et la plus agréable façon de construire sa destinée, à l’encontre des entraves d’une économie qui exploite l’homme et la terre. Celui qui conforme sa vie aux critères de réussite et d’échec a déjà renoncé à vivre.
N.O. – Vous écrivez qu’il « s’est produit en mai 1968 un séisme et une rupture avec le passé d’une magnitude jamais atteinte dans l’histoire. » Qu’en reste-t-il ?
Raoul Vaneigem.
Même si les idéologies au rancart et les vieilles décrépitudes religieuses sont aujourd’hui rafistolées à la hâte et jetées en pâture à un désespoir dont l’affairisme au pouvoir tire profit, elles ne peuvent dissimuler longtemps la mutation de civilisation que mai 68 a mise en lumière. La rupture avec les valeurs patriarcales est définitive.
Nous nous acheminons vers la fin de l’exploitation de la nature, du travail, de l’échange, de la prédation, de la séparation d’avec soi, du sacrifice, de la culpabilité, du renoncement au bonheur, du fétichisme de l’argent, du pouvoir, de l’autorité hiérarchique, du mépris et de la peur de la femme, de la subordination de l’enfant, de l’ascendance intellectuelle, du despotisme militaire et policier, des idéologies, du refoulement et de ses défoulements mortifères.
Ce n’est pas un constat, c’est une expérience en cours. Elle réclame seulement plus de vigilance, plus de conscience, plus de solidarité avec le vivant.
Nous avons besoin de nous refonder pour rebâtir sur des assises humaines un monde ruiné par l’inhumanité que propose le culte de la marchandise.(…)
N.O.
Vous écrivez que « le travail dont nous avons toujours prôné le refus, exerce aujourd’hui un double effet de nuisance par son absurdité et sa raréfaction. » Existe-t-il une alternative ?
Raoul Vaneigem.
Ceux qui glorifient aujourd’hui le travail sont ceux-là mêmes qui ferment les entreprises pour les jouer en Bourse et les brader dans les spéculations boursières. Depuis que la tyrannie du travail s’est trouvée absorbée par la tyrannie de l’argent, un grand vide monnayable s’est emparé des têtes et des corps. Un puissant souffle de mort se propage partout. Le désespoir est désormais, avec la peur, la meilleure arme de l’oppression marchande. Elle rentabilise l’espoir en faisant de son déclin une vérité universelle qui proclame : accommode-toi d’un misérable aujourd’hui car demain sera pire. Il est donc temps de prendre conscience des chances offertes à l’autonomie individuelle et à la créativité de chacun. De l’avis même de ses promoteurs, le capitalisme financier est condamné à l’implosion à plus ou moins longue échéance. Cependant, sous cette forme sclérosée se profile un capitalisme redynamisé qui projette de rentabiliser les énergies renouvelables et de nous les faire payer alors qu’elles sont gratuites. On nous « offre » des biocarburants sous la condition d’accepter des cultures de colza transgénique, l’écotourisme va faciliter le pillage de la biosphère, des parcs d’éoliennes sont implantés sans avantages pour les consommateurs. C’est là qu’il nous est permis d’intervenir. Les ressources naturelles nous appartiennent, elles sont gratuites, elles doivent être mises au service de la gratuité de la vie. Il appartiendra aux collectivités d’assurer leur indépendance énergétique et alimentaire afin de s’affranchir de l’emprise des multinationales et des Etats partout vassalisés par elles. L’occasion nous est donnée de nous approprier les énergies naturelles en nous réappropriant notre propre existence. Là réside la créativité qui nous débarrassera du travail.
N.O.
Pourquoi vous sentez-vous plus solidaire que jamais ?
Raoul Vaneigem.
Ma solitude diffère de l’esseulement, elle est peuplée par un sentiment de solidarité.
Les partisans de la volonté de vivre n’ont pas besoin de se connaître pour se reconnaître. Le combat d’un seul pour la vie est le combat de tous. Nous n’en sommes pas encore à faire primer le désir, la création, l’inventivité, la poésie sur la routine, l’ennui du travail, l’indignation larmoyante. Sur les murs de la grisaille existentielle qu’élèvent autour de nous les larbins politiques de l’affairisme refleuriront quelque jour ces mots de Loustalot qui, datant de la Révolution française, n’ont rien perdu de leur insolente nouveauté : « Les grands ne nous paraissent grands qu parce que nous sommes à genoux. Levons-nous ! »
N.O. –
Qu’est-ce qui vous révolte le plus aujourd’hui ?
Raoul Vaneigem.
La passivité, le fatalisme, la servitude volontaire, le fétichisme de l’argent, la prédation, l’enseignement concentrationnaire avec ses principes de concurrence, de compétition et d’obédience à l’économie, la stérilisation de la terre par la transformation du vivant en marchandise ; et le manque de créativité de ceux qui prétendent combattre la barbarie avec les armes de la barbarie et non par la puissance de la vie
.
Propos recueillis par François Armanet et Gilles Anquetil
Le Nouvel Observateur du 10-16 avril 2008
Le prochain livre de Vaneigem « Entre le deuil du monde et la joie de vivre. Les situationistes et la mutation des comportements » paraît le 17 avril chez Verticales-Gallimard

5 commentaires:

Anonyme a dit…

imbuvable ton article(du moins pour le plouc que je suis).
je l'imprime et l'apporte a la réunion sur le pouvoir d'achat,samedi, dans le quartier le plus "pourris" de Rennes et vais voir ce que les rmistes , chômeur et travailleur pauvres en pense.sérieusement je vais le faire.
au fait , il faut que tu m'explique dans le détail en quoi ségo aurait fait pire que sarko.
car franchement avec le parti pris ouvert des riche voir tres riche ,l'attaque sur l'école , sur tout les droit sociaux , la remise en cause des alloc , des aide au transport , l'attaque frontale a la liberté de la presse , franchement j'ai du mal a imaginer pire.
tien ,une information que te t'abstiens de divulgué , car tu réserve 80% de tes critiques a ségo, au ps et a pablo.
pourtant elle se passe dans ta région lors de la visite de ton "vénéré" président a Vienne.
c'est vrai qu'il a l'avantage sur ségo de porter des couilles comme toi , c'est peut etre pour ça que tu le ménage.
plus sérieusement.
une manifestation de partis de gauche était organisé , des banderole et des tract ont été confisqué , pire des journaux "subversif" tel que l'huma , libé ou marianne déchiré .
ceux qui refusait étaient menoté et amené au post.
autre infos de libé , plusieurs personne ayant insulté sarko(d'après les policier) ce sont chopé de......la prison ferme dont un ,pour l'avoir traité de "chien hongrois" pendant ce temps là les infraction des entreprise ne sont plus judiciaire.

brave gens, abstenez vous, sarko n'est pas du tout dangereux pour la démocratie.
merci pou l'exemple que tu donne paysan bio.

Anonyme a dit…

le papounet

Anonyme a dit…

Papounet
voici une vidéo de ta colombe
moins pire que pire c'est toujours du pire

je fais semblant de vous ecouter mais j'en ai rien à cirer
tu la montreras aux pauvres gens
merci
http://fanette316.blogspot.com/2008/05/sgolne-royal-expliquez-moi.html
Buzz

Anonyme a dit…

buz
tu sait tres bien que je ne suis pas royaliste, ni de près ni de loin , je suis juste un acharné anti sarko.
le fait que tu critique presque toujours ségo et presque jamais sarko, te fait complice de tout les agissement de celui ci.
crime social , battus aux immigré ,présidence "bling-bling" qui est la risée du monde entier , glorification du tout argent ,attaque frontale contre la liberté de la presse et la liberté de manifester contre le président ect.
il font des "sodes" en ce moment pour l'adhésion a l'ump.
tu as le profil idéal du petit militant de base umpiste(lol)loyale envers notre vénéré président et impitoyable avec la "duduche" de gauche.
après tout mon grand, plus besoin de la gauche aux élections, elle existe déjà au gouvernement avec ton copain besson(farouche anti royal comme toi) , il t'a précédé dans la majorité présidentiel.
le papounet

Anonyme a dit…

C'est l'inverse Papounet
c'est sego qui fait du mal
par sa vision nationaliste
son autoritarisme
son manque d'ecoute


tu le sous-entend toi même :nous esperons une Gauche pas une droite light
Faut peut etre commencer a s'unir Papounet et pas se déchirer comme 4 pelés d'une secte
parce que tout ça profite au capitalisme aussi sauvage qu'injuste mais terriblement efficace parce qu'il fait rever des pauvres broyés par le systeme

Buzz


archives

Qui êtes-vous ?

paysan bio producteur de framboises biologiques. passionné par mon métier. mais gêné par le fait qu'il ne procure pas un revenu suffisant pour faire vivre correctement ma famille. c'est elle la priorité,donc je vais certainement changer de métier.